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28 mars 2013

Carnet de Bord.

Se lever, travailler une heure demie heure. Faire les courses, revenir, retravailler une heure, manger, le tout à pas de loup pour ceux qui font la grasse-matinée. Rencontrer bonnet koala alors que les marmottes se lèvent enfin, reprendre ses affaires, et de nouveau aikido.

C'est fou ce qu'un regard extérieur donne de la motivation. Aikido, aller manger à 14 heures au pseudo-soleil des supers falafels qui coûtent la peau des fesse.
Faire attendre les autres pour imprimer son billet d'entrée au salon du livre, parce que les clients devant mois mettent 5 minutes chacun à faire imprimer leur truc. S'énerver contre l'incertitude, incertitude de l'après-midi, changements du soir. Avoir de l'énergie se paye, finalement. Etre énervé attire l'attention sur soi, finalement. Les autres sont à l'écoute.

Soulagée par la slackline dans les bois. L'image est marron, avec les lignes des arbres qui donnent de la force au tableau, coupées à la terre et la slack. Des murs droits en bois, des relations bizarres entre les gens, des barrières, encore des roulades, la nuit qui tombe et nous presse à rentrer.

Ne pas travailler.

Le dimanche attendre, encore l'incertitude, puis de nouveau même lieux, silence, mêmes actions: slackline entre les mêmes arbres, murs droits de bois, relations très normales entre les gens, apaisement, barrières, contagion. Apaisement.

Envie de recommencer toujours et encore, noir de nuit, vert aikido, marron d'arbre. espace, mouvement, sérénité de la droiture. Sommeil, réveil matinal, travail, organisation, espace. Discussions, silences surtout.

Le tout sur un air de Ella Fitzgerald et Louis Armstrong.

On verra bien, on fait ce que l'on peut.

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